Oubliez les lignes époustouflantes. Ne pensez pas à un intérieur des plus innovateur. Ce n’est pas ce que cette 330 CI utilisera pour vous charmer. De longues courbes sinueuses, voir même dangereuse. Voilà où elle vous donnera rendez-vous afin de se dévoiler toute entière sous son plus beau jour.
L’expérience ultime
Selon le Petit Larousse, conduire se résume bêtement à diriger, manœuvrer un véhicule. Tout cela fait bien simpliste et après une balade en BMW 330 Ci, nul doute que vous aurez le goût de donner une signification beaucoup plus animée à ce terme. Et lorsque j’ai fait essayer cette voiture à un vieil ami nouvellement propriétaire d’une Infini G35, il a caressé le tableau de bord et affichant un sourire qui en disait long, il s’exclama : it feels like a German. Pour ceux qui ne comprennent pas l’anglais, je vous assure qu’il ne voulait pas dire que ça lui faisait penser à Germaine.
Au départ, l’insonorisation de la voiture est remarquable. Les bruits de caisse sont pratiquement inexistants et il en va de même pour les bruits de vents. Sa tenue de route vous donne ensuite une impression de contrôle total, tellement la voiture est solide sur la route. Viens ensuite la première courbe. Ne connaissant pas trop la voiture et histoire de ne pas se faire surprendre, il est certainement plus sage d’y aller avec retenue. Une fois cette courbe derrière, vous vous serez effectivement fait surprendre mais totalement dans le sens contraire.
Pour ma part, il ne m’en fallu pas plus pour réaliser que j’avais entre les mains une très grande pointure. Aidé de ses pneus Continental P225/45ZR17, ce coupé, même à la limite, garde une excellente stabilité. Superbement équilibré, la voiture n’a pas tendance n’y a sous virer ou sur virer et ceci est valable également en conduite extrême. Il faut dire qu’en de telles circonstances, le système DSC (régulation de comportement dynamique) se chargera rapidement de vous remettre dans le droit chemin. Et oui, il arrive qu’on surexploite ses qualités de pilotes ou encore les limites de la voiture. À ce sujet, certaines personnes aux tendances kamikazes vous diront qu’ils regrettent énormément que ledit système ne se désactive pas complètement.
Le fait est qu’il est très utile d’avoir un tel dispositif sur la voiture mais lors d’une journée idéale où le conducteur se sent un peu plus rebelle, il est possible de désactiver, partiellement, le système par une simple pression du doigt. Règle générale, ce dernier est plutôt restrictif et à la moindre déstabilisation, il intervient pour rétablir l’équilibre. Une fois désactivé, vous jouissez d’une latitude supplémentaire mais le système interviendra tout de même advenant qu’il juge la situation trop critique. Alors, vous voulez épater la galerie et faire de jolie 360 degrés sur un beau pavé mouillé. Oubliez ça, le système ne vous laissera pas faire. Pour les moins Gino qui ont tout de même décidé de continuer à lire l’article, sachez qu’il est tout de même possible d’exploiter la tenue de route au-delà d’où l’utilisateur normal irait.
L’expérience ultime
Selon le Petit Larousse, conduire se résume bêtement à diriger, manœuvrer un véhicule. Tout cela fait bien simpliste et après une balade en BMW 330 Ci, nul doute que vous aurez le goût de donner une signification beaucoup plus animée à ce terme. Et lorsque j’ai fait essayer cette voiture à un vieil ami nouvellement propriétaire d’une Infini G35, il a caressé le tableau de bord et affichant un sourire qui en disait long, il s’exclama : it feels like a German. Pour ceux qui ne comprennent pas l’anglais, je vous assure qu’il ne voulait pas dire que ça lui faisait penser à Germaine.
Au départ, l’insonorisation de la voiture est remarquable. Les bruits de caisse sont pratiquement inexistants et il en va de même pour les bruits de vents. Sa tenue de route vous donne ensuite une impression de contrôle total, tellement la voiture est solide sur la route. Viens ensuite la première courbe. Ne connaissant pas trop la voiture et histoire de ne pas se faire surprendre, il est certainement plus sage d’y aller avec retenue. Une fois cette courbe derrière, vous vous serez effectivement fait surprendre mais totalement dans le sens contraire.
Pour ma part, il ne m’en fallu pas plus pour réaliser que j’avais entre les mains une très grande pointure. Aidé de ses pneus Continental P225/45ZR17, ce coupé, même à la limite, garde une excellente stabilité. Superbement équilibré, la voiture n’a pas tendance n’y a sous virer ou sur virer et ceci est valable également en conduite extrême. Il faut dire qu’en de telles circonstances, le système DSC (régulation de comportement dynamique) se chargera rapidement de vous remettre dans le droit chemin. Et oui, il arrive qu’on surexploite ses qualités de pilotes ou encore les limites de la voiture. À ce sujet, certaines personnes aux tendances kamikazes vous diront qu’ils regrettent énormément que ledit système ne se désactive pas complètement.
Le fait est qu’il est très utile d’avoir un tel dispositif sur la voiture mais lors d’une journée idéale où le conducteur se sent un peu plus rebelle, il est possible de désactiver, partiellement, le système par une simple pression du doigt. Règle générale, ce dernier est plutôt restrictif et à la moindre déstabilisation, il intervient pour rétablir l’équilibre. Une fois désactivé, vous jouissez d’une latitude supplémentaire mais le système interviendra tout de même advenant qu’il juge la situation trop critique. Alors, vous voulez épater la galerie et faire de jolie 360 degrés sur un beau pavé mouillé. Oubliez ça, le système ne vous laissera pas faire. Pour les moins Gino qui ont tout de même décidé de continuer à lire l’article, sachez qu’il est tout de même possible d’exploiter la tenue de route au-delà d’où l’utilisateur normal irait.
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