Après la berline et le break, voici la version coupé de la BMW Série 3. Élégante et discrète, d’une finition irréprochable, elle sort avec deux moteurs essence dont un inédit au souffle fabuleux, le 335i de 306 ch. Plus long et plus bas que la berline, ce coupé joue avant tout l’élégance bourgeoise. Rien à voir avec l’esthétique cubiste du nouveau Z4 : pas d’alternance de surfaces concave et convexe, de lignes courbes et d’arabesques.
La robe du coupé est pleine et tendue, gonflée. La ligne générale n’en reste pas moins extrêmement racée grâce à un long empattement et un museau expressif et dynamique. Comme un coup de fouet, une ligne de caisse bien marquée parcourt les flancs jusqu’au train arrière qui se distingue par le dessin très réussi de ses feux à technologie LED. Je remarque aussi le galbe très élégant des rétroviseurs – voici une voiture qui ne néglige aucun détail. Par rapport à la version quatre portes, le coupé conserve le même châssis, les mêmes trains roulants et le même tableau de bord. Tout le reste change, notamment les ailes qui sont construites en plastique thermoformé, chaque porte perdant 3 kg par rapport à l’acier.
Excellente accessibilité au poste de conducteur et très bonne position de conduite, volant et siège réglables au cheveu près, champ de vision étendu et bonne visibilité de l’instrumentation : les premières impressions sont bonnes, très bonnes même ! Grâce à des matériaux de qualité et à une finition irréprochable, le constructeur allemand livre un intérieur cossu, confortable et apaisant.
Deux nouveautés retiennent l’attention à l’intérieur. La première, une baguette lumineuse, placée dans la contreporte, distille une clarté bleutée en nocturne. Ambiance garantie.
La seconde est un approche-ceinture dont bénéficient les deux passagers avant. Les rangements, notamment les aumônières logées dans les contre-portes, n’offrent que peu d’espace. En revanche, les deux vraies places arrière offrent aux passagers les coudées franches.
Au choix : un coupé bourgeois...
Je pousse le bouton « start » pour goûter aux vocalises des 6 cylindres de la version 325i de 218 ch. Je lance la bête sur quelques kilomètres tout en grimpant au-dessus de Marsannay-la- Côte et de ses combes ombragées. Le nouveau coupé tient la route avec brio, certes, mais les accélérations et les reprises sont décevantes avec cette motorisation – il n’y a guère de couple disponible avant 3000 tours. Pour toutes les petites manœuvres, le véhicule est extraordinairement maniable, grâce à la direction active (AFS) à démultiplication directe à vitesse réduite. Sur autoroute, ce coupé adopte les bonnes manières feutrées, notamment sur le plan acoustique, de la berline. Les suspensions sont particulièrement fermes, une impression encore renforcée par les pneus "run-flat", très durs, mais qui permettent de rouler à plat.
La robe du coupé est pleine et tendue, gonflée. La ligne générale n’en reste pas moins extrêmement racée grâce à un long empattement et un museau expressif et dynamique. Comme un coup de fouet, une ligne de caisse bien marquée parcourt les flancs jusqu’au train arrière qui se distingue par le dessin très réussi de ses feux à technologie LED. Je remarque aussi le galbe très élégant des rétroviseurs – voici une voiture qui ne néglige aucun détail. Par rapport à la version quatre portes, le coupé conserve le même châssis, les mêmes trains roulants et le même tableau de bord. Tout le reste change, notamment les ailes qui sont construites en plastique thermoformé, chaque porte perdant 3 kg par rapport à l’acier.
Excellente accessibilité au poste de conducteur et très bonne position de conduite, volant et siège réglables au cheveu près, champ de vision étendu et bonne visibilité de l’instrumentation : les premières impressions sont bonnes, très bonnes même ! Grâce à des matériaux de qualité et à une finition irréprochable, le constructeur allemand livre un intérieur cossu, confortable et apaisant.
Deux nouveautés retiennent l’attention à l’intérieur. La première, une baguette lumineuse, placée dans la contreporte, distille une clarté bleutée en nocturne. Ambiance garantie.
La seconde est un approche-ceinture dont bénéficient les deux passagers avant. Les rangements, notamment les aumônières logées dans les contre-portes, n’offrent que peu d’espace. En revanche, les deux vraies places arrière offrent aux passagers les coudées franches.
Au choix : un coupé bourgeois...
Je pousse le bouton « start » pour goûter aux vocalises des 6 cylindres de la version 325i de 218 ch. Je lance la bête sur quelques kilomètres tout en grimpant au-dessus de Marsannay-la- Côte et de ses combes ombragées. Le nouveau coupé tient la route avec brio, certes, mais les accélérations et les reprises sont décevantes avec cette motorisation – il n’y a guère de couple disponible avant 3000 tours. Pour toutes les petites manœuvres, le véhicule est extraordinairement maniable, grâce à la direction active (AFS) à démultiplication directe à vitesse réduite. Sur autoroute, ce coupé adopte les bonnes manières feutrées, notamment sur le plan acoustique, de la berline. Les suspensions sont particulièrement fermes, une impression encore renforcée par les pneus "run-flat", très durs, mais qui permettent de rouler à plat.
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